La balle est dans le camp des constructeurs pour voir l'automobile en vert
Le comportement des automobilistes face aux enjeux écologiques et la crise du pétrole montre qu'il ne reste plus à l'industrie qu'à créer des voitures totalement vertes pour qu'elles soient adoptées !
La hausse du prix de l'essence et les discours écologiques semblent porter leurs fruits puisque le comportement automobiliste évolue franchement, et ce, enfin, depuis des décennies. Si l'on en croit les résultats d'une enquête réalisée par Métro auprès de ses lecteurs, les automobilistes semblent prêts pour la révolution écologique.
Globalement, une large majorité de personnes possèdent une voiture mais seraient prêts à l'abandonner si les transports en commun le permettaient. Autre constat, près de 90% de la population interrogée achèteraient un véhicule hybride ou électrique, ou rouleraient au biocarburant. Ne reste donc plus qu'à la RATP, à la SNCF et aux constructeurs automobile à oeuvrer dans ce sens !
On note toutefois une différence de comportement des automobilistes selon les pays. En effet, le taux d'équipement est d'une part plus élevé dans les pays méditerranéens tels que l'Italie et le Portugal contrairement au Nord de l'Europe par exemple.
De même la hausse du prix de pétrole ne s'est pas répercutée de la même manière partout dans le monde. Les automobilistes suédois ou portugais n'ont pas changé leurs habitudes tandis que les Etats-Unis et la France voient une nette baisse de l'utilisation de la voiture depuis la flambée du pétrole (63,5%).
L'alternative principale à la baisse d'utilisation de la voiture reste bien sûr d'opter pour les transports en commun. On note d'ailleurs que près de 36% des automobilistes seraient prêts à lâcher leur véhicule si les transports en commun le permettaient. Concernant ceux qui se déplacent uniquement en train, bus ou métro, ils ne souhaitent pas acheter de voiture compte tenu de son prix d'achat comme celui de son entretien.
Cette analyse du comportement des automobilistes montre bien la prise de conscience écologique et économique face à la hausse du prix du pétrole. Il ne reste plus qu'aux transports en commun et à l'industrie automobile de se lancer !
La hausse du prix de l'essence et les discours écologiques semblent porter leurs fruits puisque le comportement automobiliste évolue franchement, et ce, enfin, depuis des décennies. Si l'on en croit les résultats d'une enquête réalisée par Métro auprès de ses lecteurs, les automobilistes semblent prêts pour la révolution écologique.
Globalement, une large majorité de personnes possèdent une voiture mais seraient prêts à l'abandonner si les transports en commun le permettaient. Autre constat, près de 90% de la population interrogée achèteraient un véhicule hybride ou électrique, ou rouleraient au biocarburant. Ne reste donc plus qu'à la RATP, à la SNCF et aux constructeurs automobile à oeuvrer dans ce sens !
On note toutefois une différence de comportement des automobilistes selon les pays. En effet, le taux d'équipement est d'une part plus élevé dans les pays méditerranéens tels que l'Italie et le Portugal contrairement au Nord de l'Europe par exemple.
De même la hausse du prix de pétrole ne s'est pas répercutée de la même manière partout dans le monde. Les automobilistes suédois ou portugais n'ont pas changé leurs habitudes tandis que les Etats-Unis et la France voient une nette baisse de l'utilisation de la voiture depuis la flambée du pétrole (63,5%).
L'alternative principale à la baisse d'utilisation de la voiture reste bien sûr d'opter pour les transports en commun. On note d'ailleurs que près de 36% des automobilistes seraient prêts à lâcher leur véhicule si les transports en commun le permettaient. Concernant ceux qui se déplacent uniquement en train, bus ou métro, ils ne souhaitent pas acheter de voiture compte tenu de son prix d'achat comme celui de son entretien.
Cette analyse du comportement des automobilistes montre bien la prise de conscience écologique et économique face à la hausse du prix du pétrole. Il ne reste plus qu'aux transports en commun et à l'industrie automobile de se lancer !